Non loin de l’aéroport de Liège, à Hollogne-aux-Pierres (Grâce-Hollogne), un lieu-dit s’appelle « Grosses Pierres ».

De gros blocs de grès* quartzeux y étaient encore nombreux à la fin du XIXe siècle.

Ils provenaient d’une carapace silicifiée qui s’est formée, pendant des épisodes arides du Tertiaire, dans les couches supérieures du sable marin tongrien* (déposé au début de !’Oligocène ou à la fin de !’Éocène).

L’abondant silex du Crétacé que recouvre ce sable a fourni la silice nécessaire à la silicification.

Quelques « Grosses Pierres » ont été retrouvées et sont décrites.

Description de deux récipients gallo-romains présentant le même type de graffiti.

Nous nous trouvons en présence de deux récipients présentant la même typologie de graffiti.

Ils ont sans doute servi au même usage, très probablement dans des boutiques.

Pour terminer, nous espérons que cette description permettra d’attirer l’attention d’autres chercheurs afin de connaître d’autres récipients avec ce même genre de graffiti.

Découverte, en 1960, à Vaux-et-Borset, en Hesbaye, d’une herminette rubanée, en phtanite, de taille exceptionnelle.

Cet article apporte quelques corrections et compléments au catalogue provisoire paru dans cette même revue (Dethier, 1998).

En outre, il donne la liste de nos récoltes au cours de ces trois dernières années.

Un catalogue de la collection d’animaux cavernicoles réunie par Fr. Delhez est paru assez récemment dans le Bulletin des Chercheurs de la Wallonie (Dethier, 1998).

Cette collection, conservée au Musée de Ramioul et à présent remise en ordre, comptait alors 271 espèces et sous-espèces.

Les restes des sociétés disparues interpellent le grand public.

Passions et émotions tissent des relations ambiguës entre l’homme d’aujourd’hui et les objets archéologiques.

La médiation de ce patrimoine, sa communication auprès du plus grand nombre pourraient amener une prise de conscience collective de la nécessité d’adopter une attitude responsable vis-à-vis de la disparition des traces du passé.