Évaluation archéologique « Rue de la Vouerie » à Lixhe-Visé, Province de Liège, Belgique Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLII, 2003

Évaluation archéologique « Rue de la Vouerie » à…

Évaluation archéologique « Rue de la Vouerie » à Lixhe-Visé, Province de Liège, Belgique

Les sondages effectués à Lixhe s’inscrivent dans le cadre de la politique de prévention définie par le Service de l’Archéologie en Région wallonne.

Menacé par un projet de lotissement, le site était bien documenté dans les sources historiques et se rapportait aux périodes anciennes de la Principauté de Liège.

Les sondages ont confirmé pleinement le potentiel archéologique du lieu.

Environ 200 structures ont été mises au jour lors de l’évaluation : sépultures, fondations, empreintes de poteaux, fosses diverses et variées.

Les éléments les plus anciens actuellement découverts semblent se rapporter aux XIe-XIIe siècles PCN.

Devant ces résultats, des fouilles de sauvetage ont été directement programmées dans la foulée de l’évaluation.

MARCHAL J.Ph. / LOICQ S. / SCHAACK N.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLII
2003, p. 119-136

sites funéraires mérovingiens Bulletin des Chercheurs de la Wallonie LII, 2015-16

Inventaire des sites funéraires mérovingiens de la province de…

Inventaire des sites funéraires mérovingiens de la province de Liège : regards archéologique et anthropologique

Un nouvel outil informatique, créé dans le cadre d’un travail de fin d’études, reprend l’ensemble des sites funéraires mérovingiens de la province de Liège et amène à une synthèse actuelle de la période envisagée sous un angle archéo-anthropologique.

En 1949, le Dr Heli Roosens (1918-2005) publie un inventaire complet des cimetières mérovingiens de Belgique intitulé De merovingische begraafplaatsen in België.

repertorium algemene beschouwingen.

Depuis soixante-cinq ans, l’archéologie a indéniablement progressé et les découvertes se sont multipliées.

Aujourd’hui, ce recueil unique se doit d’être réactualisé.

J’ai dès lors consacré mon travail de fin d’études à l’Université de Liège à la réalisation d’une base de données regroupant les différentes nécropoles mérovingiennes de la province de Liège (Roosens, 1949).

DEFLANDRE L.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie LII
2015-2016, p. 49-78

Médiateur/enseignant, bilan et perspectives d’une relation passionnelle - RIEU J.L. Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV, 2005

Médiateur/enseignant, bilan et perspectives d’une relation passionnelle – Rieu…

Médiateur/enseignant, bilan et perspectives d’une relation passionnelle

Avant d’examiner cette relation entre médiateur culturel et enseignant fréquentant les musées d’archéologie, il convient de s’attarder sur la définition du médiateur.

Il est un passeur d’idées, une interface entre le public et son objet à transmettre.

Cette médiation doit faire appel à trois formes de savoirs indissociables : savoir intellectuel sur le champ culturel correspondant (l’archéologie préhistorique en l’occurrence), des savoir-faire (techniques d’animation basées sur l’archéologie expérimentale entre autres), et des savoir-être (comme orateur mais aussi savoir-être à l’écoute de son public et pouvoir s’adapter à tous les publics).

Rieu J.L.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV
2005, p. 67-68

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV, 2005

Mise en valeur des vestiges archéologiques – Réflexions et…

Mise en valeur des vestiges archéologiques - Réflexions et interrogations

Le développement des sites visitables, et des musées qui leur sont souvent associés, est significatif en Europe depuis ces dernières décennies, que ce soit en milieu urbain ou rural.


Dans les villes, le développement de l’archéologie urbaine a généré l’ouverture de nombreux sous-sols archéologiques tandis que le milieu rural a vu naître nombre de  musées de sites.

Warnotte A. / Tinant M.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV
2005, p. 45-49

Adaptation de l’archéologie au public Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV, 2005

Adaptation de l’archéologie au public – Otte M.

Adaptation de l’archéologie au public

Adaptation de l’archéologie au public

Toute idée de passé lointain s’ouvre comme un gouffre à la conscience, où elle risque de s’étourdir, comme si la connaissance des origines permettait d’accéder à la nature profonde des choses et d’en estimer également le déroulement futur…

La maîtrise du temps lance un perpétuel défi à la volonté humaine qui s’y brise aussi régulièrement que ces tentatives sont, à chaque fois, renouvelées.

Les origines du monde, de la terre, de la vie et des hommes constituent le fondement à toutes mythologies, à toutes religions et, aujourd’hui, à toutes sciences.

 

Otte M.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV
2005, p. 33-34

Archeolo-J, le vocable original d’une association qui a fêté 35 années d’existence en 2004 Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV, 2005

Archeolo-J, le vocable original d’une association qui a fêté…

Archeolo-J, le vocable original d’une association qui a fêté 35 années d’existence en 2004

Archeolo-J, le vocable original d’une association qui a fêté 35 années d’existence en 2004

Fondée par quatre jeunes passionnés du passé et désireux de mettre le patrimoine à la portée de tous, les Jeunesses archéologiques belges, mieux connues sous la sympathique appellation d’ARCHEOLO-J, s’inscrivent dans la droite ligne des recommandations de l’UNESCO et de la Convention européenne pour la protection du patrimoine archéologique qui prescrivent « d’entreprendre une action éducative en vue d’éveiller et de développer le respect et l’attachement du passé ».

Gillet J.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV
2005, p. 27-29

L’Archéoforum de Liège - Monjoie S./ Renson A. Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV, 2005

L’Archéoforum de Liège – Monjoie S./ Renson A.

L’Archéoforum de Liège

L’Archéoforum de Liège - Monjoie S./ Renson A.

L’Archéoforum de Liège constitue une vaste infrastructure située dans le sous-sol de la place Saint-Lambert, espace central de la ville.

Il préserve des vestiges archéologiques qui s’étalent, sans discontinuité, d’environ 7000 av. J.-C. à la fin du XIXe siècle.

Ce sous-sol contient, notamment, les vestiges d’édifices religieux successifs, dédiés à saint Lambert, mort sur les lieux vers 700.

Monjoie S. / Renson A.

Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLIV
2005, p. 13-14