Située dans l’ancienne commune d’Andrimont (Dison), la grotte de la Chantoire, appelée plus communément Trou des Sottais, est connue de longue date dans la population verviétoise.
Sa réputation est fondée non seulement sur les découvertes paléontologiques et archéologiques effectuées depuis la fin du XIXe siècle mais aussi sur sa faune cavernicole répertoriée par R. Leruth en 1939.
Leclercq J.
Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLVI 2007, p. 141-154
Quelques observations sur l’éthologie de la larve d’Ochthephilus aureus (Fauvel, 1869)
Dans cette note, l’auteur relate quelques observations originales sur l’éthologie de la larve d’Ochthephilus aureus (Fauvel, 1869) et son développement.
Hubart J.-M.
Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLVI 2007, p. 133-139
Phénomènes karstiques dans les évaporites et concrétions de sel en Belgique et ailleurs
Diverses formations et cavités dans le sel s.l., ainsi que les concrétions qui s’y forment, sont décrites et passées en revue, tant en Belgique qu’à l’étranger.
L’origine et l’évolution géologique des évaporites sont évoquées et des grottes dans le sel sont étudiées.
Dubois A.
Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLVI 2007, p. 109-132
Découvertes néolithiques par prospections pédestres sur le plateau de Froidmont (Haccourt/Oupeye)
La récolte sélective, par des membres du Cercle archéologique de la Basse-Meuse, de quelques outils lithiques, par prospections pédestres sur le plateau de Froidmont, aujourd’hui détruit par l’exploitation de la craie, permet tout de même d’identifier deux époques d’occupation datant respectivement des Néolithiques ancien et moyen.
Tromme F.
Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLVIII 2009, p. 133-156
Lixhe / Nivelle-sur-Meuse : occupation médiévale et post-médiévale, rue de Lanaye
En 2006, des fouilles préventives ont été réalisées à Lixhe/Visé sur le terntoire de l’ancienne seigneurie de Nivelle-sur-Meuse.
Bien connue par les sources historiques et déjà mentionnée à l’époque de saint Hubert , celle-ci contrôlait les voies d’accès terrestre et fluviale à la principauté de Liège depuis l’est.
Une motte artificielle présente sur la parcelle a révélé la présence d’une petite tour quadrangulaire médiévale qui semble avoir été abandonnée à la Renaissance au profit d’un édifice de vastes dimensions disparu, lui, dans le courant du XVIIIe siècle.
Une vocation défensive peut être proposée pour ces deux bâtiments.
Marchal J. Ph.
Bulletin des Chercheurs de la Wallonie XLVIII 2009, p. 89-114